Formation en gestion culturelle : une opportunité pour les organisations culturelles du Cap-Haïtien, des Cayes et de Jacmel

Pour la fin de l’année 2021 et le début de 2022, Caracoli propose des formations en gestion culturelle dans trois villes du pays : Cap Haïtien, Cayes et Jacmel.

Débuté l’année dernière, le programme AROCH (Action pour le Renforcement des Organisations Culturelles Haïtiennes), mis en œuvre par la Fondation Haïti Jazz en collaboration avec l’association Caracoli, et financé par l’Union européenne, inclut des formations en gestion culturelle parmi les dispositifs visant à renforcer les organisations culturelles haïtiennes dans leurs capacités à produire des événements culturels. Les villes ciblées par AROCH sont le Cap Haïtien et Jacmel.

En parallèle, à travers le projet « Contribution à la formation des acteurs culturels haïtiens », l’ambassade de Suisse en Haïti a souhaité profiter du programme AROCH pour cofinancer les formations existantes et inclure une troisième ville : les Cayes. 

Par conséquent, dans les trois villes, 15 représentants d’organisations culturelles auront à chaque fois la possibilité de renforcer leurs connaissances sur l’organisation d’événement culturel, particulièrement sur la production, la gestion administrative et financière ainsi que sur la communication. La formation théorique sera suivie d’une séance de réseautage et de partage d’expériences avec d’autres acteurs du secteur culturel local.

La première formation aura lieu du mardi 30 novembre au vendredi 3 décembre au Cap Haïtien. La formation aux Cayes se déroulera en décembre tandis que celle de Jacmel aura lieu au mois de janvier 2022. Les demandes de renseignements et inscriptions se font uniquement par voie électronique via l’adresse de Caracoli : contact@caracoli-haiti.com

Les formations en gestion culturelle proposées par Caracoli dans les villes du Cap Haïtien, des Cayes et de Jacmel, bénéficient du soutien du programme AROCH financé par l’Union européenne, de l’ambassade de Suisse, de la compagnie Sunrise et de la Société Capoise d’Histoire et de Protection du Patrimoine.

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