Publication de la cartographie de l’industrie haïtienne de la musique

Sur le net:
– Maghaiti : http://www.maghaiti.net/selon-une-etude-scientifique-le-konpa-nest-pas-le-genre-musical-dominant-en-haiti/
– Le National :

Le « Konpa » ne domine pas le marché de la musique en Haïti


– Le Nouvelliste : Le droit d’auteur en Haïti, un manque à gagner dans le secteur musical haïtien
– Le Nouvelliste : Ayiti Mizik publie la cartographie de l’industrie haïtienne de la musique
– Le National:

Un rapport de la cartographie de l’industrie haïtienne de la musique



Ayiti Mizik clôture le projet de « cartographie de l’industrie haïtienne de la musique » avec une table ronde nationale

L’association haïtienne des professionnels de la musique a gagné en 2015 l’appel à proposition du fonds international pour la diversité culturelle de l’UNESCO grâce auquel elle a pu, avec le soutien d’autres partenaires financiers et opérationnels, mener à bien le projet de cartographie de l’industrie haïtienne de la musique pendant plus d’un an, d’avril 2016 à juin 2017.

Afin de recueillir des données quantitatives, le projet comportait la mise en oeuvre d’enquêtes de terrain menées dans 6 départements du pays (l’Artibonite, le Centre, le Nord, l’Ouest, le Sud et le Sud-Est, ainsi que la diaspora grâce à un questionnaire en ligne). Au total, 1520 professionnels pratiquant 35 métiers différents ont été enquêtés. En complément, 7 focus groups ont été réalisés en vue d’obtenir des données plus qualitatives sur le secteur. Parallèlement, une série d’entrevues avec un dizaine de personnes-ressources ont permis de réunir des informations spécifiques. Aujourd’hui, le secteur possède donc une base de données chiffrées et des informations détaillées qui pourront servir de fondement pour un travail à long terme.

A partir des résultats des enquêtes et des focus groups, la table ronde de ce jour vise à interroger plus précisément les professionnels du secteur (dont une trentaine vient de la province) pour obtenir leurs recommandations sur différents points comme le statut des professionnels du secteur, la création, la diffusion des œuvres, le droit d’auteur et la mobilisation du secteur. Ces recommandations seront intégrées dans le rapport final qui permettra une meilleure connaissance de la chaîne de valeur de l’industrie musicale, une meilleure prise en compte de ses spécificités par l’Etat et une (re)valorisation du secteur dans son ensemble.

Les recommandations s’adressent aussi bien aux acteurs du secteur qu’à l’Etat, à court, moyen et long terme. Il peut s’agir par exemple de la création d’antennes d’Ayiti Mizik en province ou de l’instauration de bourses ou de prix de reconnaissance (award) par les acteurs de l’industrie de la musique, mais aussi de la révision du décret-loi portant sur le droit d’auteur, de la construction de salles de spectacles adaptées ou encore du lobbying en faveur de l’éducation musicale et de la formation des jeunes professionnels.

Le rapport final en tant que tel, un document de 120 pages, sera imprimé et distribué d’ici la fin du mois de juin. Une version électronique sera également disponible et accessible sur le site de l’association www.ayitimizik.net.

Outre la subvention du fonds international pour la diversité culturelle de l’UNESCO, le projet de cartographie de l’industrie haïtienne de la musique a reçu le soutien financier de partenaires-clefs tels que l’Organisation Internationale de la Francophonie, l’Ambassade de Suisse en Haïti, la FOKAL et la Fondation Lucienne Deschamps. Il a bénéficié du soutien opérationnel du Ministère de la Culture et de la Communication, du Ministère du Tourisme et des Industries créatives, du Centre de Facilitation des Investissements, de l’Institut Français et le réseau des Alliances Françaises en Haïti, du Nouvelliste et de Radio Télé Métropole.

Sur le net:
– Le Nouvelliste: Cartographie de l’industrie haïtienne de la musique : un outil de gouvernance pour les décideurs
– Le Nouvelliste: Table ronde sur la cartographie de l’industrie haïtienne de la musique
– Haïti Libre: Cartographie de l’industrie haïtienne de la musique
– Métropolehaiti.com: Clôture du projet de cartographie de l’industrie haïtienne de la musique
– Francophonie.org: Une table ronde de professionnels pour clôturer l’étude sur la cartographie de l’industrie de la musique haïtienne
– Loophaiti.com: http://www.loophaiti.com/content/quels-sont-les-besoins-de-lindustrie-musicale-haitienne
– RFI, Koze kilti: Cartographie de l’industrie haïtienne de la musique

Participez à l’enquête sur l’industrie haïtienne de la musique!

AM-UNESCO L’enquête inclue dans le projet de « cartographie de l’industrie haïtienne de la musique » mis en oeuvre par Ayiti Mizik avec le soutien de l’UNESCO propose de recenser les acteurs de l’industrie haïtienne de la musique, en Haïti et dans la diaspora, et de faire valoir leur contribution à l’économie du pays.
Musicien(ne)s, chanteur(se)s, auteurs, compositeurs, ingénieurs du son, animateurs radio-télé, DJ, managers, promoteurs, agents, manutentionnaires, etc… Cette enquête vous concerne! Vos réponses à ces questions sont essentielles pour démontrer la force et la vigueur de l’industrie haïtienne de la musique.
Cliquez sur ICI et répondez au questionnaire jusqu’au bout.

Ayiti Mizik lance le projet de « cartographie de l’industrie haïtienne de la musique »

Ayiti Mizik logo couleurlogo diversité L’ASSOCIATION AYITI MIZIK LANCE LA « CARTOGRAPHIE DE L’INDUSTRIE HAÏTIENNE DE LA MUSIQUE », AVEC LE SOUTIEN DU FONDS INTERNATIONAL POUR LA DIVERSITE CULTURELLE DE L’UNESCO
C’est la première fois qu’Haïti remporte l’appel à propositions du Fonds International pour la Diversité culturelle de l’UNESCO à travers l’association Ayiti Mizik et son projet de « cartographie de l’industrie haïtienne de la musique ».

Depuis sa fondation, en 2010, Ayiti Mizik a cherché de manière continue à entreprendre une telle étude socio-économique du secteur musical haïtien. « Ayiti Mizik a pour objet de promouvoir, développer et défendre les intérêts de l’industrie de la musique Haïtienne. Or pour bien se défendre, il faut commencer par connaître ses atouts, ses faiblesses, ses défis et surtout ses perspectives et son poids dans l’économie. » explique Milena Sandler, vice-présidente de l’association.

De plus, il a été prouvé que les pays ayant réalisé ce type d’étude socio-économique ont vu augmenter de façon significative les investissements nationaux et internationaux dans les secteurs concernés.

Le projet mené par Ayiti Mizik permettra donc au secteur musical haïtien de se doter d’une étude d’impact nécessaire à son développement. L’étude cartographique renforcera le secteur de la musique en le dotant de données chiffrées, tout en garantissant la concertation des acteurs concernés, suivant les recommandations formulées lors des Assises Nationales de la Culture de 2011. Elle pourra constituer également le point de départ pour l’élaboration d’une politique culturelle pour ce secteur, et avoir un effet incitatif et multiplicateur pour les autres secteurs culturels haïtiens.

Parallèlement à une campagne de mobilisation du secteur, une enquête de terrain, associée à des réunions de concertation et des questionnaires en ligne, sera réalisée auprès des acteurs concernés dans l’ensemble du territoire national et dans la diaspora avec le soutien de partenaires-clefs tels que le Ministère de la Culture, Le Ministère du Tourisme et des Industries créatives, le Centre de Facilitation des Investissements (du Ministère du Commerce), l’Institut Français et le réseau des Alliances Françaises en Haïti, Le Nouvelliste, ainsi que l’Ambassade de Suisse en Haïti.

Pour Pascale Jaunay, expert musique du projet : « La taille du secteur de la musique est estimée à plus d’un tiers du secteur culturel dans son ensemble et son rayonnement embrasse des expressions très diverses fortement inspirées par des savoirs traditionnels. Il génère une économie importante reposant sur un marché potentiel de plus de 10 millions de personnes auxquels s’ajoutent les 2 millions d’Haïtiens de la diaspora. Toutefois le caractère très informel de cette économie limite grandement son développement. »

L’enquête de terrain, associée à des réunions de concertation et des questionnaires en ligne, sera réalisée durant la période estivale (août-septembre) par la compagnie Ayiti Nexus.

Le projet est réalisé avec le soutien des partenaires suivants : Institut Français en Haïti, Alliances françaises en Haïti, Le Nouvelliste, Télé Métropole, RTNH

Le comité de pilotage est aussi composé de : Ministère de la Culture, Ministère du Tourisme, UNESCO Commission locale, Coopération suisse, CFI, CCIH

Pour information complémentaire / si vous souhaitez participer à l’enquête, contactez :
info@ayitimizik.ht
tel: +509/3699-2419 / +509/2813-1143.

Sur le net:
– UNESCO : Cartographie de l’industrie haïtienne de la musique
– Le Nouvelliste: Ayiti Mizik pour une cartographie de l’industrie haïtienne de la musique
– Le Nouvelliste: Pour une cartographie de l’industrie haïtienne de la musique
– Loop : « Ayiti Mizik » veut cartographier la musique haïtienne
– Signal FM: Vers une cartographie de l’industrie haïtienne de la musique
– Haiti Libre: Vers une cartographie de l’industrie haïtienne de la musique
– Le National:

Bientôt une cartographie de l’industrie haïtienne de la musique

Ayiti Mizik lance le projet de cartographie de l’industrie haïtienne de la musique

Ayiti Mizik logo couleurL’association Ayiti Mizik lance la première « CARTOGRAPHIE DE L’INDUSTRIE HAÏTIENNE DE LA MUSIQUE » avec le soutien de l’UNESCO. Ce projet propose au secteur musical haïtien de se doter d’une étude d’impact nécessaire à son développement.
Musicien(ne)s, chanteur(se)s, auteurs, compositeurs, ingénieurs du son, animateurs radio-télé, DJ, managers, promoteurs, agents, manutentionnaires, etc… Cette enquête vous concerne! Vos réponses à nos questions sont essentielles pour faire valoir l’importance du secteur de la musique. Faites-nous part de vos coordonnées (téléphone ou email) et vous serez contacté pour participer à l’étude.
Cette enquête de terrain, associée à des réunions de concertation et des questionnaires en ligne, sera réalisée durant la période estivale (août / septembre) auprès des acteurs du secteur de la musique dans l’ensemble du territoire national et dans la diaspora, dans le but de mesurer la dimension économique et sociale de l’industrie musicale haïtienne.
Contact: info@ayitimizik.ht / +509-2813-1143.

Rencontre des centres de ressources de la musique de la Caraïbe Francophone en Guadeloupe, du 19 au 21 avril 2013

ReprizA l’invitation du Centre Régional des Musiques et danses traditionnelles et populaires de la Guadeloupe, Rèpriz, Pascale Jaunay (Ayiti Mizik / Caracoli) a assisté à la première rencontre des centres de ressources de la Caraïbe Francophone. Le Centre Régional des Musiques et Danses traditionnelles et populaires de la Guadeloupe a été fondé en 2005. Supporté par les institutions françaises (Région Guadeloupe, Ministère de la Culture), accrédité par l’UNESCO depuis 2007, il est le fruit de nombreuses années de travail, notamment du monde associatif, et en particulier du Comité d’Action Sportive et Culturelle (CASC) qui, depuis plusieurs années, à partir du Festival de Gwoka de Sainte-Anne (dont la 26ème édition aura lieu en juillet 2013), développe des actions, rencontres et réflexions complémentaires portant sur la vie du patrimoine musical guadeloupéen.

Le Centre Rèpriz vise à sauvegarder les traditions de musiques et danses propres à la Guadeloupe et à en favoriser la connaissance, la transmission, la pratique, le renouvellement et la promotion, aussi bien en Guadeloupe que dans le monde.

Dans cette optique, du 19 au 21 avril 2013, il a organisé la première rencontre des centres de ressources de la Caraïbe Francophone.

Etaient présents:

– Apollinaire Anakesa et Christian Cécile pour le Centre de Recherches Interdisciplinaires en Langues, Lettres, Arts et Sciences Humaines et le Centre d’archives des documents ethnographiques de la Guyane – CRILLASH-CADEG – de l’Université des Antilles-Guyane (Guyane)

– Félix Cotellon, Dominique Cyrille, Laurent de Bompuis pour le Centre Rèpriz (Guadeloupe)

– Pierre Dru et Dominique Massol pour l’association « Mi Mes ManmayMatinik » -A4M (Martinique)

– Isabelle Florentini Claude pour la Maison du Bèlè (Martinique)

– Sonia Marc pour le Département Patrimoine de l’Office de la Culture du Lamentin (Martinique)

Ces deux jours de rencontre ont permis aux responsables des institutions concernées de mieux se connaître en présentant leur structure et leurs activités, tout en explicitant leur contexte singulier de leurs actions. Les discussions ont également porté sur le texte de la Convention de l’UNESCO de 2003 portant sur la « Sauvegarde du Patrimoine Culturel Immatériel », les modifications dont il pourrait faire l’objet et la manière dont les porteurs de tradition et ceux qui les accompagnent peuvent se l’approprier.

Des pistes de collaboration ont été esquissées pour que cette rencontre soit le point de départ d’un véritable réseau des Centres de ressources des musiques traditionnelles de la Caraïbe francophone, qui pourrait s’étendre par la suite à l’ensemble de la Caraïbe.

Pour Haïti, un tel réseau pourrait servir à mieux faire connaître la Convention de l’UNESCO (ratifiée par Haïti en 2009), renforcer les compétences en matière de recherche ethnomusicologique, ou encore profiter des expériences régionales d’action artistique autour des musiques traditionnelles.

Atelier management à Kay Mizik la, 13-17 septembre 2012

ateliermanagement4Du jeudi 13 au lundi 17, Kay Mizik La a organisé un atelier en direction des managers et des artistes intéressés par la question du management.

Après une séance d’introduction, plusieurs intervenants se sont succédé pour développer différents aspects liés au management. Milena Sandler, vice-présidente de Ayiti Mizik, a expliqué les connaissances de base relatives au droit d’auteur, l’intérêt pour les auteurs et compositeurs de protéger leurs œuvres et les démarches concrètes d’enregistrement dans une société de gestion collective.

Nick Stratton, actuellement président de BrandHaiti, a exposé à la dizaine de participants tous les avantages que présentent les réseaux sociaux, nouveaux outils, gratuits pour la plupart, qui peuvent être mis à profit dans les campagnes de promotion et de recherche de fonds, en les adaptant à des projets musicaux.
Eddy Renaud, directeur de la Sonomix, a détaillé toutes les informations nécessaires à la constitution et à la lecture d’une fiche technique, depuis le backline, jusqu’au patch et au plan de scène.
De son côté, Fabiola Léger a relaté son expérience dans l’industrie musicale haïtienne en insistant sur les spécificités du marché haïtien.
Enfin, une séance de conclusion a permis à chacun des participants de s’approprier connaissances et méthode fournies pendant l’atelier pour définir son projet professionnel et élaborer une stratégie adéquate pour atteindre ses objectifs.

Rendez-vous est pris pour le vendredi 28 septembre pour poursuivre les discussions lors du chita pale sur « comment trouver un manager ? » à Kay Mizik La.

Sur le net:
Le Nouvelliste : Clôture d’un atelier management à Kay Mizik La

Lancement du Centre de Ressources pour la Musique

Logo kaymiziklaPort-au-Prince, le 26 juillet 2012 — Kay Mizik La, le premier Centre de Ressources pour la Musique a ouvert ses portes ce jour. Kay Mizik La, un espace où le professionnel de la musique pourra se perfectionner et s’enrichir, va ainsi accueillir musiciens, managers, musicologues, techniciens, et autres professionnels du secteur.

C’est grâce à un financement de l’Union Européenne à travers l’appel à projets du programme Arcades pour la culture que ce projet pilote, né au sein d’Ayiti Mizik, voit le jour. Il s’y tiendra des ateliers de formation et de perfectionnement, des cours de solfège, des tables rondes et des « chita pale », ainsi que des conseils aux professionnels : toutes des activités qui visent à permettre aux professionnels du secteurde se structurer et de s’améliorer en vue de d’accroitre leur capacité économique.

Une médiathèque exclusivement consacrée à la musique (CD, mp3, DVD, ouvrages et partitions) estmise à disposition pour consultation sur place. Encore très modique, le fonds de la médiathèque espère pouvoir compter sur les contributions des éditeurs locaux, des institutions publiqueset privées et bien entendu sur les mélomanes et autres collectionneurs.
Réservées aux membres d’Ayiti Mizik, et de Kay Mizik La, les activités se dérouleront sur une base régulière. La médiathèque sera accessible à tous, moyennant des frais d’inscription annuelle de 200 gourdes.

Porté par la Fondation Haïti Jazz et dirigé par un comité de pilotage mixte (Ayiti Mizik, Fondation Haïti Jazz et Caracoli) le Centre est financé pour une période de 9 mois. Les opérateurs sont déjà à la recherche de financements et d’opportunités pour pérenniser ce projet d’envergure, car un tel espace est indispensable pour le développement de la filière musique l’un des secteurs culturels les plus dynamique et porteur en Haïti.
(Rédigé par FHJ)

Sur le net :
Alterpresse : Inauguration de Kay Mizik la, un centre d’archivage d’oeuvres musicales haïtiennes
Le Nouvelliste : Kay Mizik la ouvre ses portes
Haiti Libre : Inauguration de la médiathèque Kay Mizik la

Introduction au management dans le cadre du cycle de formations organisé par Ayiti Mizik, avec le soutien de l’Institut Français

Formation managementLa formation au management s’est déroulée sur 4 jours du lundi 9 au jeudi 12 mai 2011.

La première séance, à charge de Pascale Jaunay, a constitué en une introduction au management où une méthodologie a été ébauchée pour que les séances suivantes soient profitables aux dix stagiaires venus d’horizon différent. La deuxième journée a vu l’intervention de Fritz Hyacinthe, manager du groupe Carimi, qui a raconté son expérience personnelle pour mettre en lumière certains points d’importance concernant le marketing, les finances et les ressources humaines. Ce premier témoignage a été complété par ceux de Fred Lizaire (ex manager de King Posse) et de Charlot Murat (Belo). Les questions et réponses de l’ensemble des participants ont pointé des problèmes précis auxquels des solutions ont été proposées, tandis qu’étaient mis en évidence des problèmes structurels communs au secteur de la musique tant en Haïti que dans la diaspora.

Le travail de la dernière journée a permis à chacun des participants de tirer les conclusions pratiques des interventions antérieures pour élaborer une stratégie en adéquation avec son propre projet.

IF_Logo-RVBLes participants ont aussi pu échanger leurs propres compétences dans des domaines annexes du management (organisation de concerts, enseignement, etc.) et dans des genres très variés (konpa, musiques actuelles, chanson, musique classique, musique traditionnelle, etc.). Ils ont manifesté leur satisfaction après cette première formation, et le souhait que l’expérience soit répétée régulièrement.